" Les moutons, encore les moutons.
Moutons, moutons et moutons.
La voix pleure le son qui entre dans toutes choses.
Os et chair, l'habit entier pour rien.
Quel éclat que l'amour.
Un homme.
Son amour réunit tous les hommes puis, au matin, donne la première femme.
L'amour matrice du monde. "
" L'appel cesse.
La suite dit cela :
un deuxième bonheur, aux jours de la moisson, trouva quelques-unes des choses que les nuits rencontrent.
C'est pour cet homme que vint la suite."
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